photo : Martin Stahl

Chaque chorus de Stan Getz raconte une histoire. Evidente, lumineuse. Parti de l’anecdote que représente un thème, par touches légères, il en dessine un nouveau bien plus fascinant, évident, d’une incommensurable richesse. Du solo de Bronx Blues inventé il y a près de quarante ans à ceux inspirés par Apasionado ou Lonely Lady, en passant par son sublime I remember Clifford, il est aisé de suivre ici un cheminement qui ignore les tricheries.

Every Stan Getz chorus tells a story. An obvious, luminous one. Beginning with the anecdote a tune describes, using light touches, he draws out a much more fascinating, evident new song, full of an unmeasurable richness. Going from his solo on Bronx Blues invented almost forty years ago to his improvisation inspired by Apasionado or Lonely Lady without forgetting his sublime I remember Clifford, it’s easy to follow the way he took, a way without any cheating.

Alain Tercinet

pour commander aux Editions Henry Lemoine, la référence est 26379